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 |  Sujet: Aerin Isilrá  Sam 19 Avr - 0:00 | |
|  Identité
Nom - Isilrá
Prénom - Aerin
Age - 18 ans
Royaume - Inyädris.
Maisons souhaitées (x2) - L'Air, L'Esprit.
Maison la moins souhaitée - Le Feu.
Matière préférée - Artéfacts.
Matière souhaitée - Créatures.
Race - Humain
Grade/Métier - /
Guilde - /
Allégeance - /
Capacité - Illusion psychique.
Caractère
Élevée par des elfes sylvains, Aerin est très proche des caractéristiques qui définissent ces derniers bien qu'elle n'en soit pas une. Recueillie par un couple maîtrisant tous deux avec aisance les domaines des sorts de soin et de manipulation de la nature de la magie elfique, elle a été initiée dès son plus jeune âge au respect de l'environnement ; puis, vénérant la Grande Lune est devenue très croyante et pacifiste. D'une nature curieuse, et bien qu'elle soit humaine, elle croit pourtant fermement en les valeurs qui lui ont été inculquées.
L'intelligence est un grand mot. Mot par lequel ses proches la définissent pourtant souvent. Ainsi, vive d'esprit et dotée d'une perception prometteuse, elle reste persévérante en toute occasion et surtout face à la maîtrise pour le moment difficile et irrégulière de son don , proche des domaines de manipulation mentale et d’illusions tels qu'on les retrouve dans les arcanes elfiques. Capable de créer des mirages et des illusions aux yeux des autres ou de leur faire voir une chose inexistante, elle ne maîtrise pourtant pas toujours bien ce don au départ mal assumé de sa part et caché avant que ne soit aboli en l'an 400 le décret anti-magie. Un don vu comme néfaste car proche de la ruse et du mensonge. Mais qui pouvait aussi s'avérer bien plus positif et utile. La patience est donc une autre qualité que l'humaine a dû apprendre à développer. A la fois pour apprendre à contrôler son don mais aussi ses effets sur autrui et sur elle-même.
Élevée au milieu des elfes, elle se remarque également par une attitude toujours digne et gracieuse, car soucieuse de faire bonne figure en toute circonstance; dissimulant ainsi au mieux ses sentiments et cherchant à ne laisser entrevoir aucune faille, aucun défaut. C'est également sa manière de remercier ses parents adoptifs et de ne pas les décevoir.
Et pourtant, cette attitude, même si réservée et généreuse, cache des sentiments beaucoup moins nobles comme l'ambition et une forme de suffisance. Déterminée à toujours exceller, réussir et atteindre les objectifs qu'elle s'est fixée, Aerin est prête à beaucoup pour obtenir ce qu'elle souhaite, laissant alors de côté la générosité ou l’empathie pour pouvoir créer son propre bonheur et protéger voir garder ceux auxquels elle tient.
De plus, difficilement influençable, elle est très fermée dans les valeurs propres aux elfes sylvains qui lui ont été transmises par ses parents adoptifs et auxquelles elle prête une importance majeure, même si les portes de la civilisation elfique lui sont en partie fermées de part sa naissance et son humanité. Elle est donc aussi méfiante à l'égard des autres races. Un sentiment qu'elle cache souvent et que seule ses croyances pacifistes savent contenir. Une méfiance en partie due à la difficulté qu'elle connaît d'être partagée entre son éducation à la fois elfique et sa nature humaine, ainsi que les sentiments contradictoires qu'elle peut connaître à cause de cela et qui jouent d'autant plus dans la puissance et l'instabilité de son don.
Ensuite, Aerin aime les étoiles, et la Lune bien sûr. Apaisée par sa lumière douce et la vénérant, elle pourrait rester des heures entières à l'observer et à s'interroger sur l’étendue de son pouvoir. De plus, son don personnel se nourrissant essentiellement de l'air environnant, dans lequel elle apprend peu à peu à puiser de l'énergie pour maîtriser pleinement les illusions psychiques dont elle est capable, elle respecte le vent, comme la pluie et la neige. Seul le Feu l'effraye réellement. Elle aime aussi lire, voyager et observer les créatures existantes. Elle a pratiqué également le tir à l'arc et s'intéresse à la lecture, aux soins et à la pratique des guérisseurs et à l'interprétation du ciel et des étoiles.
Cependant, elle reste insensible à l'exploitation des sentiments, le relâchement et à l'art du combat. N'aimant pas mettre en avant son corps et le pousser dans ses retranchements, elle y préfère le développement de l'esprit et l'apprentissage de la maîtrise de son don.
Physique
Grands, aux traits fins, gracieux, élégants, sveltes et même agiles, voici comment sont définis les elfes sylvains. Une race s'étant retranchée en l'an 333 dans la forêt d'Astraël. Mais, avec la création de l'ordre des guérisseurs en l'an 325 et l'esprit plus libre et moins discipliné de certains d'entre eux, un pont semble s'être ouvert avec le reste de Rëvalïa. Et c'est en partie grâce à cela que Aerin a pu trouver un foyer parmi eux. Adoptée par deux elfes sylvains après avoir été abandonnée en lisière de la forêt d'Astraël, elle n'en reste pas moins complètement humaine. En effet, elle n'a ni les oreilles pointues et ne possède pas l'immortalité, mais elle a pourtant bénéficié d'une apparence propre, de part certains aspects, à celle des elfes. Tels qu'une taille assez grande, des traits fins. Une grâce et une élégance de toute évidence bien moindres que celles des elfes sylvains mais que son éducation auprès de de ses parents elfes et l'environnement au sein duquel elle a grandi ont tout de même apporté.
Ne reniant jamais son côté humain, elle se félicite pourtant d'avoir bénéficié de la nature svelte et agile propre aux elfes, ainsi que la vivacité et la précision. Ces caractéristiques physiques ayant, du moins elle le pense, en partie favoriser son intégration parmi eux. Pourtant, ses côtés humains restent bien présents, voir majoritairement même si elle s'en cache souvent.
En effet, ses origines humaines ont irrémédiablement prédominé sur l'éducation elfique. Elle est donc sensible et vulnérable aux maladies. D'un moral moins solide que les elfes, elle est donc aussi fragile que le sont les humains et n'arrive pas toujours bien à contenir les émotions typiquement humaines qui la traversent. C'est pour cela qu'elle affiche souvent un air hautain, voir de retenue. Les sourcils haussés et les lèvres pincées. Un air qui cache en fait des sentiments bien vrais mais difficilement refoulés.
D'ailleurs, en plus de l'absence d'oreilles pointues, sa démarche et ses yeux à l'éclat brun dénoncent bien sa nature humaine.
Soignée, elle n'est pas aussi douée en activités sportives qu'elle pourrait le laisser paraître. Seule sa rapidité et son agilité jouent en sa faveur. Lors d'un combat corps à corps, elle ne tiendrait pas cinq minutes. De plus, elle présente une forte sensibilité à la chaleur. Un point faible qu'elle arrive encore mal à atténuer et qui explique sa peau pâle et les tissus qu'elle porte autours du cou et sur les mains quand elle sort. Elle porte toujours des gants sur elle et ce n'est ni un effet de mode ni un style vestimentaire, mais plutôt un geste préventif si elle ne veut pas se retrouver avec plus de marques de brûlures qu'elle n'en a déjà. En effet, quelques marques de brûlures, aujourd'hui presque indiscernables et qui se sont atténuées avec le temps, sont présentes sur ses bras. Une au niveau de son poignet gauche, et deux autres sur son bras droit.
Autre signe distinctif, elle porte un bracelet en argent d'origine elfique et sur lequel sont inscrites des runes anciennes. Un bracelet porté par sa mère adoptive et qu'elle lui a offert lors de son départ pour l'Académie.
Histoire
« Là, par delà Pluton et invisible aux yeux des terriens, existe une planète dont le satellite, la Lune, est à l'origine de pouvoirs exceptionnels.
Cette planète, c'est Rëvalïa.
Avec le temps, plusieurs races et créatures s'y sont développées.
Moi-même, je suis une habitante de Rëvalïa. Née de l'union de deux humains, on aurait pu me destiner à devenir une parfaite humaine. Et pourtant, mon destin a pris un tournant décisif quand mes parents biologiques ont choisi de m'abandonner en bordure de la forêt d'Astraël...
J'avais trois ans quand je me suis retrouvée seule face à cette gigantesque forêt. Alors, bien sûr, je ne me souviens pas bien de mes parents biologiques. Tout ce que je sais c'est qu'ils étaient effrayés et qu'ils croyaient certainement faire le meilleure choix pour moi ou surtout pour eux, d'après moi. Il y avait quelque chose chez moi... Un pouvoir étrange qui les mettaient en danger, et moi en même temps, à cause d'un décret anti-magie datant déjà de 313 et à l'origine d'une véritable traque des « magiciens » et « élémentaristes ». Née en l'an 388 et rapidement dotée d'un don particulier que mes parents remarquèrent dès mon plus jeune âge, nous nous rapprochâmes de la forêt d'Astraël. Cherchant à me cacher aux yeux d'autrui et surtout à m'enseigner comment dissimuler ce don, je n'ai compris que bien tard qu'ils voulaient simplement me protéger d'une seule chose, pourtant bien connue à l'époque, ce fameux décret anti-magie. Or, je n'étais qu'une enfant et il m'était très difficile de maîtriser un don que je comprenais à peine.
Comme on me l'a appris quelques années plus tard quand je fus en âge de comprendre, j'étais en fait capable de créer des illusions psychiques, autrement dit des sortes de mirages, d'illusions, laissant voir aux autres des choses qui n'existent en fait pas. Mon pouvoir se nourrissait pour cela de l'air et de l'esprit plus ou moins influençable des personnes. Le problème était cependant que ce don surgissait n'importe quand, et cela suivant mes humeurs. Un don dangereux bien plus que gênant et ceci pour toute ma famille. C'est peut-être aussi pour cette raison qu'ils ont finalement désespéré de pouvoir m'apprendre quelque chose et qu'ils m'ont finalement abandonnée.
Habitant en bordure de la forêt Astraël dans le royaume d'Inyädris, nous avions vécu pendant deux ans loin de toute civilisation. C'était peut-être trop pour eux... Ils me laissèrent donc là avec juste une feuille de parchemin dans la main et un petit sac contenant des affaires leur étant chères. Peut-être espéraient-ils ainsi que je ne les oublie pas ou les pardonne... Ayant pour seule compagnie mes parents, les animaux et créatures sauvages, ainsi que les étoiles et la Lune, je restais telle une enfant sauvage déstabilisée devant le pouvoir dont j'étais dotée.
Le souvenir le plus ancien, et peut-être le plus marquant, que je garde et celui d'un grand homme au visage lumineux avec de longs cheveux s'approchant doucement de moi alors que je m'étais aventurée dans la forêt. Inconsciemment, et sans comprendre ce qu'il me demandait, je lui tendais le mot que mes parents m'avaient remis. De l'autre main, je tenais fermement le petit baluchon que mes parents m'avaient laissée, comme si c 'était la dernière chose au monde qui me reliait à eux. Ils m'avaient dit : « Va dans la forêt. Là-bas, tu trouveras des personnes qui voudront peut-être de toi. ». Peut-être...
Je ne sais ce qui était écrit sur ce parchemin, mais peut-être contenait-il mon histoire puisque mes parents adoptifs ont réussi à me la raconter bien plus tard. Mes parents adoptifs... Des elfes... Mon père n'est devenu autre que le majestueux elfe que j'ai rencontré ce jour-là. Il m'avait ramenée chez lui. Une maison au sommet des arbres où je découvrais une femme plus belle encore que les étoiles ! A peine arrivé, l'elfe lui avait passé le parchemin et était reparti en disant qu'il devait demander la réunion d'un conseil. Pour moi. C'est la décision finale des débats animant ce conseil qui déciderait de mon destin. Seule avec la femme elfe, cette dernière se pencha vers moi. D'une sourire radieux, elle caressa ma joue et ôta le sac que je tenais avec toujours autant d'espoir en promettant qu'elle le conserverait précieusement si j'avais le droit de rester. Je pense que, ce jour-là, mes futurs parents ont fait en sorte que je n'oublie jamais ces instants car j'étais encore trop jeune pour pouvoir en garder des souvenirs précis. Finalement, le verdict devait être positif car je vis revenir le premier elfe que j'avais vu avec une expression d'euphorie rare chez les elfes et que je ne lui reverrais plus.
Ils s'appelaient Eärendil et Enetari Isilrá et m'ont, le jour même où ils m'ont recueillie, rebaptisée « Aerin ». Me laissant ainsi oublier mon vrai nom et mettre de côté la vie à laquelle j'étais pourtant destinée à ma naissance. Ils m'aimaient et j'ai fini pas les aimer également, ainsi que la civilisation des elfes sylvains, c'est tout ce qui comptait. Pour eux, je paraissais comme un miracle et le fait qu'ils aient pris conscience de mon don semblait avoir joué en ma faveur. Je commençais donc une nouvelle vie en plein cœur de la forêt d'Astraël.
Mais bien vite, avant même que Myrddin, important militant contre le décret anti-magie, ne fasse son apparition, s'engageant à réformer l'académie d'Edälia et amenant à un retour à la paix en 396, nous nous éloignâmes de la cité de Lunalïs pour rejoindre une partie de la forêt comprise dans le royaume d'Inyädris. Élever une humaine au milieu d'autres elfes n'était pas si évident et beaucoup ne le comprenaient pas. J'avais beau faire beaucoup d'efforts, je resterai toujours une humaine.
J'avais sept ans et le sentiment de ne pas être à ma place alors que la seule chose dont je rêvais était de pouvoir être née en tant qu'elfe... Ce sentiment d'exclusion mais aussi de culpabilité pour mes parents m'a laissée un souvenir fort ainsi qu'une profonde tristesse dont j'ai réussi à me détacher peu à peu; élevée suivant les valeurs elfiques et rythmée par les rites que mes parents elfiques continuaient de perpétuer, tout en s'étant volontairement éloigné des leurs. Pourtant, ils ne semblaient pas le regretter et ils m'ont appris bien des choses. M'ont ouvert au monde, au culte et au respect de la Grande Lune.
Élevée dans la forêt d'Astraël, j'étais en contact constant avec un environnement empli de magie. Puis, en l'an 400, le décret anti-magie a finalement été aboli après que Myrddin ait réussi à faire lever l'interdiction de la pratique magique. Après cela, mes parents et moi nous sommes rapprochés de la frontière avec le royaume d'Edälia. Plus proches de la civilisation humaine que nous ne l'avions jamais été, nous restions toujours un peu en marge. Je n'ai jamais souhaité me rapprocher des gens de mon espèce, mais c'était leur souhait. Je devais chérir mes racines et les respecter d'après eux. Mon mère, pourtant à l'écart de la cité de Lunalïs, continuait de vivre ainsi que le feraient tous les elfes et moi, de mon côté, je me contentais très bien de suivre ce mode de vie. J'apprenais peu à peu à maîtriser un peu mieux mon don et à le comprendre. Mais, en parallèle de cela, j'ai développé une forte fragilité et sensibilité à la chaleur entraînant des brûlures lorsque je ne me couvrais pas les mains et le cou en présence de chaleur ou de feu. Mais, bien que j'ai conscience que cela constituait une faiblesse pouvant me porter préjudice dans le future, j'arrivais à m'y accommoder et m'y habituer. Cela m'obligea seulement dans les premiers temps à ne pas quitter le couvert des arbres, chose que de toute façon je n'avais jamais fait jusqu'à mes 18 ans.
J'étais pourtant très curieuse et impatiente de maîtriser mon don. Ne sachant pas comment faire , je me contentais alors de lire et de m'interroger sur l'interprétation que je pouvais faire de la Lune pour y arriver, chose extrêmement difficile et pas du tout à la portée d'une adolescente évidemment.
Le fait que je ne me hasarde que rarement à évoluer au milieu de personnes de mon âge ou de tout autre humain n'était pas seulement dû à mon éducation elfique et à la discipline que mes parents adoptifs m'imposaient. À vrai dire, être une humaine élevée par des elfes sylvains n'était pas quelque chose d'évident ou de bien compris. Car, bien sûr, mes parents, en plus d'être immortels, étaient dotés d'oreilles pointus, trait significatif des elfes qui les empêchait de m'accompagner lors de mes rares sorties hors de la forêt. Moi-même, j'avais du mal à comprendre qui j'étais et si je devais me comporter plutôt comme une elfe, alors même que les frontières de ces derniers m'étaient bel et bien fermées, ou comme une humaine, alors même que j'avais été élevée comme si je n'en étais pas une, et ce bien que j'en présente la plupart des caractéristiques.
Mais, alors que je commençais à m'intéresser aux soins et à la guérison, Myrddin se mit à refonder l'Académie en 404 avant qu'elle ne soit ré-ouverte en 406. Entre temps, l'an 405 fut marqué par le scellement de l'Abysse et le retour de l'Ankou.
Après les rumeurs arrivant jusque dans la forêt et rapportant la ré-ouverture de l'Académie d'Edälia, je me suis rendue sans attendre à Edälis pour retirer un bulletin d'inscription et l'envoyer une fois rempli à l'Académie. Je reçus finalement une réponse positive une semaine plus tard. Était ainsi écrit sur un parchemin :
Chère Mlle Isilrá,
Nous avons le plaisir de vous annoncer que votre candidature à l’académie d’Edälia vient d’être acceptée. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. Merci de vous les prémunir. En cas d’impossibilité à vous les procurer, notre fond de secours pourra vous fournir du matériel d’occasion.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous vous attendons le 31 août vers 18h30 en place de Portua. Le départ se fera à 19h00 précise en direction de l’académie.Veuillez croire, chère Mlle Isilrá, en l’expression de nos sentiments distingués.
Le service des inscriptions de l’académie d’Edälia.
Référence au mot de bienvenue *
Les elfes m'entourant avaient été mes seuls instructeurs et je n'avais été vraiment confrontée au monde en dehors de la forêt qu'à partir de mes douze ans, quand le décret anti-magie avait enfin été aboli. C'est pourquoi, me rendre dans la seule école secondaire et universitaire du royaume était pour moi un honneur et une immense joie. Mais, surtout, je le devais à mes parents. Ils étaient immortels, moi non. Je les empêchait de vivre pleinement au milieu des leurs et je m'en voulais sans jamais oser l'avouer. Mais aussi, ils m'y encouragèrent.
De plus, c'était une occasion unique pour moi d'apprendre à contrôler et utiliser mon don; mais aussi d'être initiée à bien des pouvoirs que je pourrais peut-être un jour, avec beaucoup de patience et d’assiduité, maîtriser. Mais cela serait aussi une occasion pour moi de faire des rencontres et de m'ouvrir sur l'étendue du monde qui m'entourait. La seule chose qui m'inquiétait était de devoir côtoyer d'autres races tels que des garous et vampires... Pour moi, j'étais bien une humaine mais la fille de deux elfes, élevée par eux. C'est ainsi que, mettant de côté mon histoire, mes origines ainsi que mon enfance particulière tout en ne les reniant pas, je m'apprêtais à faire mon entrée dans l'Académie d'Edälia... »
Joueur
Qui êtes-vous ?
J'ai 21 ans et une assez bonne expérience rp (environ 5 ans). Par contre, j'ai joué la plupart du temps sur des forums Harry Potter.
Pourquoi nous ?
J'ai tout simplement trouvé le contexte super et il m'a beaucoup inspirée, c'est ce qui m'a donnée envie de créer un personnage pour jouer sur le forum. Merci !
Comment avez-vous découvert le forum ? Avez-vous eu des difficultés en arrivant ?
J'ai découvert le forum grâce à une personne qui y était. Sinon, je n'ai pas eu beaucoup de difficultés en arrivant, une fois le contexte et les différents sujets présentant l'univers et l'intrigue du forum lus. Il y a seulement pour les royaumes où je ne savais pas s'ils présentaient chacun des caractéristiques particuliers donc je me suis fiée à la carte de Rëvalïa pour choisir le royaume d'origine de mon personnage. ^^
=> code du Règlement : Code validé par la Meuhmeuh
Dernière édition par Aerin Isilrá le Mer 23 Avr - 18:05, édité 4 fois |
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j'ai vu Eldälia, Eldäria je crois aussi, bref quelques corrections à faire mais sinon c'est tout bon 
y avait rien d'urgent je crois...
